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Fêter pour briser la négativité

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DÉVELOPPEMENT PERSONNEL, SANTÉ AU TRAVAIL

Le caractère humain, prompt à percevoir ce qui est négatif, va généralement relever davantage les aventures désagréables du quotidien au détriment de ce qui est agréable, entraînant une série de réactions pouvant être destructrices pour soi et son entourage.

La vie est jalonnée d’évènements qui nous poussent à réagir. D’un point de vue extérieur et atemporel, il n’y a aucune notion de bon ou de mauvais dans ces épisodes. Il s’agit de situations pour lesquelles nous générons diverses émotions au service d’apprentissages qui vont conditionner nos actes.

Cet ancien réflexe protecteur nous sauvait jadis des fauves venus nous becqueter ainsi que des autres périls de la vie préhistorique. Cette vigilance accrue pour le négatif perdure encore à l’ère du tout confort occidental, ce qui pousse les individus à se construire des enfers contagieux conçus par de simples pensées. 

A vrai dire, nous perdons toute objectivité à force de laisser notre mental piloter la barque sous le sceau de la négativité. Les réseaux sociaux, en formidables catalyseur d’émotions, amplifient ce biais de négativité et distillent ce qu’il y a de mieux en termes de catastrophe.

Notre mental, qui est programmé maladroitement, nécessite de gros efforts de remise en état et ce de manière urgente, sous peine de surchauffe. 

Je m’étonne que l’on cherche à être bien à l’âge adulte. Je veux dire par là que l’on se donne soudainement les moyens de trouver un sens à son existence, alors que c’est durant l’enfance que se forge l’essentiel de nos forces et de nos talents, que démarre l’apprentissage de vie. 

Dans notre jeunesse nous sommes heureux par nature. 

Hormis certains cas, nous n’avons pas de barrières mentales qui brident notre joie et notre enthousiasme. Nous sommes des génies en herbe avec une puissante faculté d’apprentissage ne connaissant pas l’échec.

Tout est une fête. Puis vient la scolarité.

Notre système d’éducation publique n’a jamais enseigné la maîtrise du mental, l’empathie, la coopération, ni comment apprendre et encore moins comment utiliser sa créativité au service de soi et de la société. En sortant de l’école, nous sommes tout au plus capables d’être conformes à une moyenne, prêts à assimiler un métier, mais incapables la plupart du temps d’utiliser au maximum nos talents ni d’aimer afin d’être simplement heureux, faute d’exercices pratiques. Nous sommes formés à la compétition et à l’individualisme, comme des moutons se prenant pour des loups.

Trêve de larmoiements, l’article devient positif à partir d’ici.

Une des armes les plus puissantes et les plus simples pour vaincre la morosité est aussi une des techniques les plus difficiles à mettre en œuvre. Il s’agit de fêter, de ritualiser les évènements du quotidien de manière positive. 

Attention, je ne parle pas de débauches incontrôlables assistées par quelques substances psychotropes, (descendez de ce lustre et allez vite mettre un peignoir voulez-vous) mais bien solennellement de rendre hommage à une victoire ou une série d’apprentissages consécutifs à un échec, qu’ils soient petits ou grands. Oui, vous avez bien compris, il faut aussi fêter les échecs.

Créons-nous notre propre calendrier des fêtes. 

Un divorce ? Soit, après le deuil, pesons les « pour » et les « contre », puis organisons une fête en cet honneur, chaque année. Un nouveau job ? Un projet réussi ? La santé ? Allons-y, sortons pour l’occasion un grand cru que nous partagerons avec nos amis, virtuellement ou physiquement. 

Nous banalisons le merveilleux

Fin 2019, dans le cadre d’un entretien de bilan avec mon directeur, j’ai réalisé par écrit une rétrospective des succès effectués durant l’année, des projets menés à terme, grands et petits, personnels et professionnels. Je m’attendais à une dizaine tout au plus, mais nous nous sommes arrêtés à vingt-et-un par manque de temps. Et pas un seul n’a été fêté dignement, honte sur moi ! Depuis ce jour, chaque réussite du quotidien a son hommage, que cela soit un petit cadeau personnel comme un livre ou un chocolat viennois, ou une soirée dédiée.

Osons engager notre créativité, car plus nous fêterons nos réussites et nos apprentissages, plus nous ouvrirons notre regard à ce qui est positif. Faites le bilan 2020, traquez vos succès, prenez le temps et fêtez chacun d’eux avec retard et joie !

Un regard ouvert et positif sur le monde appelle à soi de belles rencontres et permet de réaliser de grandes choses.

A bientôt !