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L’Université du Quotidien

Dans enfants écrivent sur des feuilles

DÉVELOPPEMENT PERSONNEL, SANTÉ AU TRAVAIL

La résilience comme vecteur de réussite

Une majorité des personnes qui viennent me voir ont de la peine à s’estimer à leur juste valeur. Elles cherchent généralement à améliorer leur vie au moyen d’alternatives légèrement améliorées par rapport à leur quotidien, ne s’imaginant pas tout le potentiel qui sommeille en elles, comme des dragons qui se comportent comme une allumette.

Toutes nos compétences et nos savoirs sont utiles

Si notre scolarité, notre formation initiale et nos formations postgrade nous ont doté d’un savoir et des compétences utiles à la réalisation d’une activité professionnelle, tout ce que nous avons développé en parallèle s’avère d’une utilité primordiale à la réalisation de nos buts, et tout simplement pour faire face avec brio aux défis de la vie.

En dehors de l’école, dans un espace laissé au bon vouloir de tous, nous apprenons :

Notre relation à l’argent et les compétences utiles à sa gestion ;

  • À cuisiner et élaborer des repas complets ;
  • À tenir un budget en fonction de notre réalité ;
  • À vivre en communauté et se construire les moyens d’exister en son sein ;
  • À développer notre créativité et l’utiliser ;
  • À trouver notre meilleure manière d’apprendre et lier nos savoirs à des compétences ;
  • À développer de l’empathie et de la bienveillance ;
  • À construire un réseau basé sur la confiance ;
  • À contourner le principe de coopération, en contournant la compétition prônée par l’école ;
  • À comprendre l’importance des écosystèmes de notre planète ;
  • À aimer, s’aimer et être aimé ;
  • À vivre avec la douleur ;
  • À faire face à l’échec et construire son avenir ;
  • À comprendre l’importance des écosystèmes de notre planète ;
  • À faire face à des défis ;
  • À vivre avec sa mort ;
  • À vivre avec la douleur ;
  • Etc.

Tout un programme, n’est-ce pas ? Si fondamentalement utile et pourtant, aucune institution ne prépare les jeunes individus dans ces domaines, pourquoi ?

Parce que premièrement, l’école n’est pas faite pour cela à la base. Elle peine à opérer un changement de paradigme qui devient de plus en plus vital pour les générations futures. Ce changement doit s’articuler autour de besoins véritables, en lien avec les défis économiques, climatiques et humains qui nous attendent.

Deuxièmement, depuis des décennies, notre système repose sur des valeurs telles que l’individualité, la concurrence et la consommation, empêchant toute velléité de penser l’humain autrement que comme un consommateur et une ressource.

Troisièmement, notre cerveau n’aime pas la difficulté et il raffole des récompenses. Tout ce qui va le satisfaire en générant moins d’effort possible va primer sur ce qui lui permettrait de s’épanouir à long terme. Cet état de fait nourrit abondamment le deuxième point évoqué ci-dessus et rend facile toute dérive commerciale et autres catastrophes qui en découlent.

Or donc, chacun se construit à sa manière en fonction de son milieu et des opportunités qui se présentent à lui, jusqu’au moment où la chanson intérieure n’a plus les mêmes harmoniques que la réalité.

Faute d’avoir acquis une bonne hygiène mentale et physique, chacun se retrouve à dériver d’un poste à l’autre, se contentant du peu que nous voulons bien lui donner, tant que nous sommes satisfaits rapidement et sans trop d’efforts. Notre cerveau encore et encore…


Dans la réalité, ce sont bien les compétences acquises en dehors des sentiers battus qui permettent de réussir et d’amener son existence vers la réalisation de ses désirs.

La majorité des postes intéressants s’obtiennent via son propre réseau, son aptitude à communiquer, et la somme de tous les petits détails qui font de nous une personne intéressante et expérimentée.

La capacité à se faire confiance et à s’estimer se construit par la réussite de petites actions qui se sont répétées au quotidien, dans tous les domaines et orientées vers autrui.

À chaque compétence et chaque savoir partagé, s’ouvrent les portes de « l’Université du Quotidien ».


Plus un individu sait interagir avec son environnement, mieux il pourra en tirer les bénéfices.

Plus il aura développé de compétences utiles au quotidien, mieux il parviendra à faire face à l’imprévu et à obtenir ce qu’il désire. Au pire, il saura dévier de sa trajectoire et contourner certains murs infranchissables pour atteindre son but avec détermination.

Cet apprentissage au gré du hasard ne doit plus être tributaire du lieu de naissance ou du niveau de vie de chaque individu.

Chacun est responsable de créer ses propres conditions favorables à une « Université du Quotidien », et de transmettre ses connaissances et compétences utiles pour que d’autres moins favorisés puissent en profiter.

Prendre du temps pour développer de nouveaux savoirs en compagnie d’autres passionnés est sans conteste la clé pour grandir et faire face aux défis personnels. C’est en partageant et en coopérant que l’humain devient imbattable et qu’il se forge une conscience éclairée.

À travers un individualisme toujours plus marqué et vanté par le consumérisme de notre siècle, retrouver du sens dans ses actes est un chemin difficile à parcourir, tant la tentation de succomber à notre cerveau paresseux est grande.

Mais bonne nouvelle ! Plus le défi est grand, plus nous avons de chance de nous y mettre un jour. C’est pour cela que j’apprécie particulièrement mon métier, en étant le témoin actif des prémices du renouveau, lorsque l’individu laisse enfin éclore en lui le germe du changement.