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L’humanité au quotidien

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DÉVELOPPEMENT PERSONNEL, SANTÉ AU TRAVAIL
Offrir à l’autre la possibilité de changer tout en se transformant soi-même est la plus belle richesse de l’interaction humaine. N’attendons pas Noël pour le faire, vivons chaque jour un instant d’humanité spontanée et laissons faire le reste.
Les fêtes de fin d’année sont une période réjouissante pour certains, stressante pour d’autres, voire terrible selon le vécu et l’expérience de l’absent que les endeuillés éprouvent à l’approche de ce cap. Les démarches entreprises envers les thérapeutes, les coachs ou les proches de confiance ne sont pas des échecs de vie. Au contraire, elles poussent à utiliser au maximum les compétences psychosociales qui se situent au cœur de l’estime de soi et permettent de les développer d’avantage.
Et si notre bien-être et notre épanouissement passait par l’autre ?
Combien ai-je vu de gens, d’amis et de membre de ma famille dans des situation pénibles qui s’entêtaient à vouloir s’en sortir seuls en héros déchus et perdre un temps de vie précieux au profit d’une bien maigre satisfaction. On s’imagine à tort que notre développement personnel passera uniquement par notre capacité à triompher seul des emmerdes, comme si ne pas demander d’aide consistait en soi à l’unique raison de vivre… . En vérité, le gain de cette quête se solde généralement par l’effacement progressif de nos capacité à faire face au monde et nous pousse vers l’anonymat.
Les bienfaits du lien
Notre génétique est calibrée afin que l’on puise nos ressources dans le lien à l’autre. Notre cœur, par exemple, se régénère littéralement lorsqu’en cas de stress nous cherchons du réconfort. A chaque aide reçue et apportée, nous sécrétons des hormones qui nous aident à régénérer nos cellules et réguler la chimie complexe qui nous compose. A l’inverse, la solitude dégrade notre corps et notre esprit à petit feu, le faisant vieillir prématurément.
Notre développement personnel est quantique dans le sens où lorsque l’on agit pour l’autre, on agit pour soi instantanément, ce qui est bien plus à portée que l’inverse, si si.
La gangrène du « self made » peut s’étendre parfois dans les livres de développement personnel à succès. S’imaginer pouvoir grandir sans l’aide d’autrui et valoriser sa capacité à se détacher des autres ne permet pas d’accéder pleinement au bonheur. Au contraire, cela nous appauvri d’avantage et limite le développement de nos compétences sociales. Ce « solitarisme occidental » anéanti la plus formidable vertu humaine en nous, à savoir faire face ensemble contre l’adversité et utiliser le meilleur de nos forces. La reconstruction de soi est fastidieuse, voire compromise sans repères ni échanges stimulants avec autrui. Je pense par exemple que l’on quitte ceux qui nous sont toxiques grâce à la compagnie de ceux qui nous aident avec bienveillance. Cette présence indispensable se construit et s’affine au fil du temps, de manière active et laborieuse.
Quelle serait la meilleure manière d’agir alors ?
Peu importe la manière, l’essentiel est d’offrir une place à l’autre aussi petite soit-elle pour qu’une réaction en chaîne s’opère. Je propose d’agir au quotidien, d’offrir un peu de soi à l‘image de graines que l’on sème sans attendre de retour direct et d’être ainsi une étincelle libre. Je pense qu’il est possible de joindre l’utile à l’agréable en agissant à la fois individuellement et collectivement. Nul besoin de fonder une association caritative ou de partir loin aider ceux qui sont dans le besoin car nous sommes, nous occidentaux, très pauvres humainement parlant.
L’autre est notre voisin/e, notre parent, notre collègue, un/e inconnu/e croisé/e par hasard, tout individu en somme qui traverse notre proximité plus ou moins longtemps et qui de par sa présence nous dérange.
Que faire ?
Utilisons nos propres ressources, celles qui sont à portée. Offrons un peu de ce que l’on aime faire. Lorsque nous faisons nos confitures nous-même, offrons un bocal à notre voisin. Une personne est seule à un café ? disons-lui bonjour et observons si celle-ci est ouverte à la discussion. A plus petite échelle, cherchons le regard de l’autre au lieu de détourner les yeux. Osons les compliments, avec respect. Mesurons nos mots qui sans crier gare construisent notre réalité. Ayons le courage de communiquer. Par communication, je veux parler d’un jeu d’intérêts sincères portés sur l’autre aboutissant à un échange enrichissant. Ne soyons pas dans la demande, mais dans le don, le don mutuel d’une situation de changement.
Soyez inspirés, et si le cœur vous en dit, je vous invite à lire cet article qui en parle.
Vous êtes magnifiques!